Les abonnés frémissent, les comptes bancaires tremblent : Netflix vient d’annoncer une nouvelle augmentation de prix, et oui… comme l’épisode final d’une série qu’on espérait courte, elle semble interminable. À croire que la plateforme a décidé de passer du statut de « roi du streaming » à celui de « maître du prélèvement automatique ».
Un abonnement qui grimpe plus vite qu’un loup-garou au coucher du soleil
Les forfaits Netflix se suivent et se ressemblent : d’abord on paye 13 CHF, puis 15 CHF, maintenant c’est carrément jusqu’à 18 CHF. À ce rythme, bientôt ce sera 25 CHF… sans même un bon vieux DVD en bonus. Mais rassurez-vous : ils promettent toujours de « garantir la qualité de l’expérience », ce qui signifie concrètement plus de bande passante pour nous facturer plus cher.
Les excuses les plus loufoques pour justifier la hausse
« C’est pour continuer à produire des contenus originaux », disent-ils. Traduction : pour financer un spin-off sur les aventures sentimentales d’un personnage secondaire qu’on ne connaît même pas.
« C’est l’inflation », ajoutent-ils, comme si vous payiez votre abonnement au marché de la chasse aux œufs.
Réactions des abonnés : de l’indignation au cynisme
Sur les forums, c’est la révolution : certains menacent de tout arrêter, d’autres de partager leur pseudo et mot de passe avec toute la famille (et le facteur). « Plus Netflix sera cher, plus je vais pirater comme si ma vie en dépendait », prévient un utilisateur anonyme.
Parmi les plus joueurs, on trouve ceux qui répondent : « Encore plus de pubs, c’est ça ? Non, pas les pubs ! »
Et la concurrence dans tout ça ?
Disney+, Prime Video et consorts lèvent leur sourcil : il est maintenant plus facile de se tourner vers une autre plateforme. Mais là aussi, les tarifs montent. L’abonné finit par courir partout, panier sous le bras, pour une poignée de popcorn et… un œil toujours tourné vers son compte en banque.
Le paradoxe Netflix : plus cher, plus indispensable
Ironie du sort : plus on augmente les prix, plus on reste accro. Les séries exclusives – ce fameux contenu Netflix Original – continuent de retenir les fans en otage. Abandonner House of the Dragon 2 au milieu d’une saison ? Impensable.
Conclusion : La valse des CHF
Netflix nous invite donc à danser un tango fiscal : à chaque pas de cotisation, on fait mine de lui dire « non », avant de replonger, pop-corn à la main. Netflix, en creusant copieusement dans nos poches, parvient à nous garder encore accrochés. La vraie question : combien de temps ce manège va‑t‑il durer ?