Le 15 juin 2025, à Pairi Daiza (Belgique), un mâle otarie nommé Miraï a voulu imposer une relation « non consentie » à sa partenaire Icy. Résultat ? Une bagarre épique, digne d’un dessin animé sous stéroïdes, qui a contraint le parc à fermer temporairement le secteur des otaries.
Des otaries en mode « zone de combat »
Selon le communiqué du zoo, Miraï – en pleine période de rut – a tenté de forcer l’accouplement, mais Icy avait clairement d’autres projets. Son refus non équivoque a déclenché un affrontement bruyant, où grognements, claquements et mouvements d’eau ont terrorisé soigneurs et visiteurs.
Des otaries tierces se sont jointes au chaos aquatique, comme dans une rave-party marine incontrôlée. Face à ce spectacle digne d’un film de Godzilla, le parc a jugé préférable de fermer l’accès à la zone « La Dernière Frontière » pendant plusieurs heures.
Intervention musclée… mais calme retrouvé
Les soigneurs – équipés sans doute de filets XXL et de bon courage – ont passé 6 à 8 heures à ramener le calme. Une otarie a été légèrement blessée (dos enflammé, pas alerte rouge, rassurez-vous) lefigaro.fr. Une fois le duo séparé, les bassins vidés de leur ambiance ringarde, tout est redevenu paisible.
Satire belge : l’amour forcé, version morses
En pleine période d’amour, on aurait presque cru assister à une version polaire des amours tourmentées de Roméo et Juliette : seulement avec plus de nageoires, moins de poésie, et un zeste de nah ! Bref, on découvre que dans le monde animal, le consentement, ça peut vite virer au pugilat.
Pairi Daiza, connu pour ses pandas ou ses jardins chinois, offre ici un nouveau spectacle inattendu : le show “otaries déchaînées”. Certes, ce n’est pas la première bagarre entre otaries en captivité – souvenez-vous d’un épisode en 2017 au zoo de Bâle – mais cette fois, la fermeture partielle du parc ajoute un côté blockbuster à l’affaire.
Une histoire avec morale (ou pas)
- Ne jamais forcer un otarie en pleine chaleur : bientôt ils auront droit à des séances de médiation non violente.
- Le consentement, même pour des animaux marins géants, est à prendre au sérieux (ou au moins à surveiller).
- Et surtout, pour les visiteurs : pensez à réserver un jaccuzzi d’eau chaude ailleurs, car là, on sert la bagarre, pas le café.
Conclusion : Pairi Daiza se paie un blockbuster poilu
Au final, cette histoire nous rappelle que même les zoos bien sages peuvent se transformer en arènes incontrôlées. Les otaries ont donné un show imprévu — à billet gratuit, mais fermant le spectacle en direct. Un coin du zoo a été déclaré “hors service hormonal” pendant quelques heures. Certains visiteurs, privés de leur dose de mignonnerie marine, ont dû se rabattre sur les pandas… ou la boutique de souvenirs.
Si vous voulez voir des otaries, arrivez après la bagarre. Et surtout, respectez le consentement, sinon vous risquerez de déclencher la prochaine fermeture-tempête. Pairi Daiza, entre panda et vadrouille, vous propose maintenant une nouvelle attraction : l’Otarie enragée. Non remboursable.